niromathe-energaia

Raymond Branly est médecin généraliste, ostéopathe, chiropracteur, … Un jour sa fille déclare des problèmes de santé, malgré toutes ses connaissances médicales, le Dr Branly ne peut aider sa fille. Il se met alors en quête de méthodes alternatives et se rend chez des rebouteux. Il constate que de nombreux rebouteux travaillaient de la même façon, ils remettaient les nerfs, les tendons et les ligaments en place…

La méthode Niromathé est née de la collaboration du docteur Raymond Branly et de Thierry Vandorme, tous deux ostéopathe. Plus de 25 années de pratique, d’observations, de recherches, d’expérimentations ont permis de découvrir certains concepts et d’élaborer la méthode NIROMATHE®.

La méthode Niromathé trouve donc son origine aux confins de l’Inde et de l’Europe. Ces rebouteux malaxaient les tissus mous et refaisaient circuler la lymphe, l’énergie. Ils avaient en commun le fait de rester doux, superficiels, de ne pas utiliser de manoeuvre intempestive, de ne pas faire “craquer”. Le patient sortait souvent miraculeusement guéri après 10 minutes passées entre leurs mains.

Créée en 1997, la méthode Niromathé fut une véritable révélation, ainsi que le début d’une activité passionnante. Simple, sans risque, facile à exécuter, d’indication large (du nouveau-né au grabataire), rapide (10 minutes de travail), très efficace et surtout d’effet immédiat.

Un grand nombre de techniques ostéopathiques vise à stimuler des points détente: techniques de Dicke, Knap, Chapman, Goodheart, Vogler, Moneyron, Bowen…, mais aussi l’acupuncture (points Ah Chi). La méthode Niromathé trouve son originalité en ce sens qu’elle associe une stimulation de ces mêmes points et une traction cutanée.

Elle s’apparente à la technique de Janet Travel qui associait une injection de xilocaïne sur ces points détente et une traction musculaire.

Tout le travail se passe au niveau de la peau

En même temps que se constitue la lésion ostéopathique, des points cutanés et sous-cutanés se déprogramment. Cet état peut durer des années. La reprogrammation de ces points par un toucher vibratoire, superficiel et polarisé amène, une disparition de la lésion ostéopathique sous-jacente.

Raymond Branly, MD, ostéopathe : “La méthode Niromathé constitue la méthode ostéopathique la plus élaborée que je connaisse. Elle est facile à mettre en œuvre. Elle peut être notamment pratiquée par les femmes, qui ont souvent été rebutées par le côté “habituellement musclé” de certaines techniques (chiropraxie, myotensif, Jones…). Elle est indolore. Elle est asymptomatique (aucune contre-indication, ni effet secondaire). Elle est rapide. Elle s’adresse à toutes les lésions ostéopathiques sans exception. Elle s’adresse à tous les âges (du nouveau-né au grabataire). Elle est d’effet immédiat : les patients sortent toujours avec une amélioration d’au moins 75 % de leur état.”  

La Méthode Niromathé s’adresse aux troubles occasionnés par un “spasme” persistant des muscles, tendons, ligaments et fascias. Le “spasme” amène les articulations en situation de blocage lors de mouvements et lors de la respiration. Ceci engendre une congestion locale à l’origine des douleurs et de l’inflammation.

La méthode consiste à faire vibrer des points sous-cutanés au voisinage des tendons, ligaments, muscles courts. Cette vibration amène une levée instantanée du spasme. L’inflammation, si elle est présente, disparaîtra ensuite au fil des jours.

Raymond Branly, MD, ostéopathe : “En même temps que se constitue une lésion ostéopathique : un blocage mécanique responsable d’une congestion ostéo-articulaire et viscérale, se produit un captage lymphatique sous-cutané au niveau de points « clés ». Le décollement de ces points permet, en retour, une levée du spasme générateur de la lésion ostéopathique.”

  • 30 % des cas sont immédiatement améliorés (absence d’inflammation associée).
  • Dans 30 % des cas, la guérison intervient trois jours plus tard ; dans 30 % des cas, huit jours plus tard (délai nécessaire à la disparition de l’inflammation). En effet, l’inflammation est la conséquence des blocages.
  • Si par contre, le déblocage complet n’est pas acquis, une deuxième, voire une troisième séance sera nécessaire (cas chroniques en particulier).
  • Restent 10 à 20 % d’échecs au-delà de 3 séances.

La méthode Niromathé ne soigne pas les cancers ni les maladies d’origine génétique et ne répare nullement les fractures, mais elle peut soulager les douleurs et redonner une meilleure mobilité.

Néanmoins, la liste des pathologies que l’on peut soumettre à un praticien Niromathé est longue. En voici quelques-unes: troubles ORL, troubles d’origine vertébrale ou appareil locomoteur, troubles respiratoires, problèmes urinaires, troubles digestifs, gynécologiques (dont la stérilité) et circulatoires, mais aussi les maux de tête, l’anxiété, les insomnies, les problèmes dus à la pratique d’un sport (entorses, tendinites, luxation, …), problèmes spécifiques à la femme enceinte et aux nourrissons (RGO, etc.), …

L’intervention d’un praticien Niromathé porte sur le rétablissement des fonctions altérées. Elle permet de réduire définitivement certaines affections chroniques et peut permettre d’éviter des interventions chirurgicales.

Les indications varient bien sûr d’une personne à l’autre.

Une description complète de la technique ainsi que les biographies de Raymond Branly et de Thierry Vandorme sont disponibles sur le site : www.niromathe.com.